CONSEQUENCES

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Le manque d’amour et la douleur émotionnelle prennent de multiples déguisements.
Obésité, anorexie, allergies, maladies immunitaires.
Problèmes digestifs, douleur chronique, fatigue générale, tout cela reflète une malnutrition affective sous-jacente.
Si tu veux étudier l’histoire qui se cache derrière la maladie, tu devras abandonner toutes les émotions toxiques que tu portes et commencer à voir les choses différemment.

Alors, la guérison et la transformation prendront place.

David SIMON M.D.

LE SILENCE

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Il y a des milliers de silences.
Celui qui tue, qui manipule, qui cherche à te ramener, à te blesser, à te soumettre, à te faire plier.
Il y a le silence d’amour, de respect, d’attente patiente, sans te couper de l’autre, sans te couper de toi.
Le silence qui communique.
Le silence qui transmet.
Le silence qui parle à ton cœur.
Puis le silence qui exclut, qui vainc, celui qui heurte, qui blesse, qui mortifie.
Le silence bavard, le silence hagard, le silence blafard, le silence malin, le silence amer, le silence franc, le silence chantant, le silence intense, le silence mortifère, le silence qui punit, le silence aversion, le silence qui danse, le silence qui te fait taire à jamais.
Il y a le silence amoureux, le silence aimant, celui qui te rebute, te repousse, te fait réagir, sortir de tes gonds, un silence de plomb, un silence lourd, un silence de matière.
Le silence qui te fait réfléchir, qui fait réfléchir, mûrir, grandir, évoluer. Parfois fléchir.
Le silence spirituel, hautement respectueux, celui qui écoute, enchante, se tait en toute occasion.
Celui qui ne connaît pas la colère…Celui qui ne connaît pas le jugement, ni la critique, ni le désespoir.

Ce Silence là, je voudrais le faire mien.
Ce silence là, je voudrais l’apprivoiser.
Parfois il est loin, parfois il est là.
C’est son caprice, sa malice, son intégrité.
Parfois insaisissable, parfois coupable, parce que tu ne l’assumes pas.

Lorsque j’ai apprivoisé tous les silences, je deviens le Silence Lui-Même.

Valérie Mautin.

AMOUREUX

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Photo par PATEROV

Si tu étais amoureux d’elle, chacun de tes mots réveillerait son cœur.
Si tu étais amoureux d’elle, chacun de tes gestes adoucirait ses larmes.
Si tu étais amoureux d’elle, chacune de tes pensées la réconcilierait avec elle-même.
Si tu étais amoureux d’elle, ton respect la ferait resplendir.
Si tu étais amoureux d’elle, tout ton corps se volatiliserait à son contact.
Si tu étais amoureux d’elle, tes yeux flamboieraient avec les siens.
Si tu étais amoureux d’elle, tu n’aurais aucune hésitation.

Si tu étais fou d’elle, tu saurais attendre. Tu saurais l’aimer. La bercer. L’enivrer. La regarder dormir.
Si tu étais fou d’elle, tu te noierais dans ses yeux. Dans sa peau. Dans son odeur. Dans sa chaleur.
Si tu étais fou d’elle, tu saurais exactement où elle est. Où elle va. Ce qu’elle fait. Ce qu’elle veut.
Si tu étais suffisamment fou, ton âme serait rebelle, et elle t’emmènerait loin avec elle, par elle, avec toi, par toi.
Si tu étais suffisamment fou d’elle, tu saurais que toutes tes pensées sont les siennes. Que toutes ses pensées sont les tiennes.

Et si toi tu étais amoureuse de lui, tu saurais le guider, le soutenir, le réjouir.
Si tu étais suffisamment folle de lui, tu saurais le chérir, sans jamais le tenir, sans jamais l’étouffer. De loin, en patience.
Si tu étais suffisamment folle, tu saurais mourir en silence, pour lui.
Même si la mort n’est que dans ta tête.
Même si elle n’existe pas.

Et si tu étais complètement folle de lui, tu saurais aimer tout le monde à travers lui.
Faire l’amour avec lui, comme tu fais l’amour avec l’Univers.
Et si lui était suffisamment fou de toi, il te réchaufferait dans ses bras, comme il réchauffe un oiseau qui se noie.
Et si tu étais suffisamment folle de lui, tu te réfugierais dans ses bras, comme on se repose après un long départ dans les bras de son bien-aimé.

Et si vous vous aimez suffisamment tous les deux, alors, l’Univers entier vous unit, dans une mélodie sans fin, et sans arythmie.
Vos notes de musique sont les mêmes, produisant la même chanson, que vous chantez ensemble.
Et dans cette danse, l’âme agit, dans la magie des alliances, qui jamais ne se distancent…

Dans ce moment limpide, où vos âmes se mêlent, vos regards se cherchent et s’emmêlent, se perdent et s’abandonnent,
Vous savez qu’en étant fous l’un de l’autre, vous êtes profondément vivants, vibrants et aimants.

Valérie Mautin

LE VOILE

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Photo par RINSKY

Tu marches avec un voile devant les yeux.
Tes blessures t’aveuglent. Te retiennent. T’affaiblissent.
Ralentissent ta marche.
Regarde loin devant toi. Au-delà du voile. Vois devant. Très haut.

Allongée dans l’herbe, je regarde le soleil, et ne vois que toi.
Tu emplis l’Univers tout entier. C’est là que je te reconnais. C’est là que je sais qui tu es. Où tu es.
Au centre de mon cœur.

Je marche avec un voile devant les yeux.
Mes blessures sont les tiennes.
Elles me terrassent.
M’ont mise à terre.
Un moment.

Puis je me relève.
Afin que tu te relèves.
Que tu marches avec moi. Ensemble.

De loin en loin j’expirai.
De loin en loin je changeais.
De loin en loin j’aimais.
De loin en loin, j’essayais de m’aimer.
De loin en loin, j’essayais de ne pas me décevoir.
Ne jamais abandonner.
Ne jamais tricher.
Ne jamais flancher.
Ne jamais mentir. Ne jamais se mentir.
De loin en loin, j’allais revivre…

Le voile se lève…Là où la peine s’achève…
Là où chaque mot est un baume, une crème, un remède magique…
Là où la musique chante dans le cœur, là où les oiseaux pépient, en joie éternelle…
Là où le cœur s’ouvre, puissant, aimant, la beauté suprême…

Alors, les blessures se ferment, lentement, dans l’envol de l’âme, loin de sa nuit.
Les blessures n’appellent plus, ne dirigent plus, ne t’écrasent plus.
Elles deviennent de formidables piliers, d’admirables occasion de renaître, de t’accomplir.
De mourir au passé.

Pour nous envoler de nouveau, dans la ronde étoilée et sacrée de la vie renouvelée.

Valérie Mautin.

BLESSER

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Si quelqu’un veut vous dire à quel point vous l’avez blessé à un quelconque moment –
tenez-vous – ou asseyez-vous – tranquillement immobile et sachez qu’il s’agit là d’un véritable défi à votre pulsion égoïque. C’est un moment crucial pour vous – votre
plus grand test.
Comment vous en tirerez-vous ? Vous trouverez-vous des excuses et vous défendrez-vous en considérant, et même en disant que vos actes ne devraient pas avoir blessé l’autre – et qu’ils étaient entièrement justifiés vu la situation ?

Si c’est là votre réponse, alors votre pulsion égoïque domine encore complètement votre conscience.
Si, toutefois, vous pouvez prendre conscience que votre instant de vérité est là – et du fait de cette prise de conscience – vous arrivez à rester tranquille et calme et à l’écouter décrire la souffrance que vous lui avez causée, vous avez réussi pour la première fois à surmonter votre ego.

Ensuite, la chose urgente à faire est d’écarter fermement votre besoin de vous défendre et d’essayer de comprendre sincèrement ce qu’il vous dit. Vous ne pourrez le faire sincèrement que si vous pouvez vous effacer suffisamment pour entrer dans une zone de silence intérieur où vous pouvez entrer complètement dans sa souffrance, écouter ce qu’il a à dire et recevoir sa peine dans votre cœur.
Si vous pouvez le faire, vous serez entré dans sa peau, vous aurez ressenti sa peine, vous aurez envie d’exprimer du fond du cœur votre regret pour ce que vous avez fait ; la peine que vous avez infligée sans le savoir, par ignorance, deviendra votre propre peine et vous n’aurez de cesse que vous réussissiez, par des paroles affectueuses, à éliminer tout résidu de peine de sa conscience. Vous aurez atteint ce point de force intérieure et d’endurance où vous pouvez sincèrement percevoir que la réalité d’autrui est d’égale valeur à la vôtre.

Vous aurez reconnu et accepté que les autres peuvent être blessés par vos actes exactement comme vous avez été blessé par d’autres.

Lettre du Christ 9. (Disponible sur Google)

MIROIR

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Un miroir, tout comme le silence, a de multiples facettes.
Il est l’image que te renvoie l’autre…Et l’autre, c’est toi….
Il faut donc en prendre grand soin.

Il doit être pur, transparent, calmant, apaisant.
Naturel, paré de ses plus beaux atouts.
Des compliments aux sincères vues, comme des sacerdoces.
Des prières, toutes entendues. Discutées, analysées. Réfléchies.
Il doit être miroitant, brillant, resplendissant !
Il doit être scintillant, ascendant, lumineux, éblouissant !
Il doit être serein, vrai, authentique.
Il doit être agréable à regarder, tellement profond, que ton regard s’y perd.
Il doit être nu, comme du papier glacé.
Net, nettoyé, pur.
Au travers de lui, tu te regardes évoluer, et tu ne tombes jamais.
C’est lui, qui te relève.
Avec Amour et tendresse.
Il ne parle jamais ni ne pense jamais à ta place.
Il est doux.
Il SAIT qui tu es.
Et il te le montre.

C’est cela, un beau miroir.
Comme une étoile.
Qui se voit encore, pendant longtemps, même si elle s’est éteinte.

Valérie Mautin.

VIVRE…

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Photo par Lost Onself.

Dépêchez-vous de vivre, dépêchez vous d’aimer, car vous ne savez jamais combien de temps il vous reste au compteur.
Nous croyons toujours avoir le temps, mais ce n’est pas vrai.
Un jour nous prenons conscience que nous avons franchi le point de non-retour, mais il est alors trop tard. […] Le point de non-retour c’est le moment où l’on se rend compte que l’on ne peut plus revenir en arrière, le moment où l’on se rend compte qu’on a laissé passer sa chance…

Guillaume Musso.
Photo par Lost Oneself.

RE-CENTRAGE

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Lorsque vous commencez à sentir que vous perdez votre centre, voici les Mantras qui permettent aux Miracles de résoudre le problème.

– AHAM BRAHMASMI – Le centre de mon Être est l’ultime réalité, la racine et le sol de l’univers, la source de tout ce qui existe.

Parce que je suis l’extension d’une intelligence consciente, et que l’intelligence consciente est le centre de toute réalité, alors je suis la source de toute réalité, et je crée ma propre expérience.

– TAT TVAM ASI – Je vois les autres en moi, et moi dans les autres.
Lorsque vous êtes avec des gens qui reconnaissent et possèdent leur négativité, vous ne vous sentez jamais jugés par eux.
C’est seulement lorsque les gens voient le bon et le mauvais, le vrai et le faux, comme des qualités en dehors d’eux-mêmes, que le jugement apparaît.
(NAMASTE – est le principe universel de reconnaissance de la Divinité en Autrui. Le prononcer en silence à la rencontre de chaque personne, permet à sa Propre Divinité de se faire entendre, par soi comme par l’autre. Signe de respect.)

– SAT CHIT ANANDA – Mon dialogue intérieur reflète le feu de mon âme.
Sat signifie la liberté et la vérité, en dehors de TOUTES limitations.
Chit signifie connaissance totale, savoir spontané et Conscience Pure.
Ananda signifie bonheur, épanouissement total, béatitude.
Le dialogue intérieur est source de tout pouvoir personnel. Et ce pouvoir s’exprime par les yeux en tant que feu de l’âme à qui ils appartiennent.

– SAN KALPA. Mes intentions ont un pouvoir d’organisation infini.
C’est un mantra permettant de mettre en conscience le pouvoir de l’intention.
Dire à soi-même : Chaque décision que je prends, est un CHOIX entre un sujet de plainte et un miracle. Je lâche prise des sujets de chagrin, et je choisis les miracles.

– MOKSHA – Je suis émotionnellement libre.

Chaque turbulence émotionnelle bloque l’évolution spirituelle et nous déconnecte de la synchronie de l’Univers. Il se s’agit pas ici d’éviter toute émotion, bien-sûr. Il s’agit de ne pas se laisser emprisonner par une seule. C’est pourquoi il est nécessaire de regarder en face chaque turbulence, car à défaut, ces turbulences reviennent plus tard. Elles reviennent en force, sous forme de dépression, de maladie, d’anxiété ou d’insomnie.

Analyser ses émotions et sentiments, suppose de ne jamais se poser en victime.
Par exemple vous pouvez vous sentir apprécié, aimé, dynamisé, libre, heureux, en colère, ambivalent, anxieux, confiant, calme, jaloux, etc..

Mais évitez les mots qui reflètent le fait qu’une autre personne vous fasse « ressentir d’une certaine façon » : Vous ne pouvez pas vous sentir « attaqué » par vous-même. Cette émotion (attaque) n’arrive pas de l’autre, mais de la réponse que vous lui donnez.
Évitez donc les mots « abandonné, trahi, jugé, abusé, trompé, transparent, invisible, insupportable, incompris, débordé de travail, contraint, forcé, rejeté, diminué, pas entendu…
Lorsque vous utilisez tous ces mots, c’est que vous donnez à l’autre beaucoup trop de pouvoir sur vos émotions. Et si vous avez tendance à faire ceci, vous n’attirerez dans votre vie que des gens qui vont vous RAMENER à ce genre de sentiments.

C’est un cercle vicieux, et il est très difficile d’être heureux SANS se responsabiliser pour ses PROPRES émotions.

– SHIVA SHAKTI – (Se prononce SHOCK-TEE) – Je donne naissance aux dieux et aux déesses à l’intérieur de moi, ils expriment tous leurs attributs A TRAVERS MOI.
Trouver le Cosmos EN soi, et exprimer sa DANSE.

– RITAM – Je suis alerte, en conscience et ouvert aux coïncidences car je sais que ce sont uniquement des messages de Dieu.
j’avance en concordance avec la danse cosmique.
Ne jamais ignorer une coïncidence. N’ignore jamais ce que l’Univers te pointe devant le nez. Plus tu te concentreras dessus, plus il te sera envoyé des opportunités.


Deepak CHOPRA ( Synchro-Destiny – Traduit par moi-même)

ACCEPTATION

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Tu vis en tant que personnalité rêvée dans une vie rêvée.

Ni la personnalité dans un rêve personnel ou une personnalité dans ce monde vivant ne peut vivre en tant qu’entité personnelle séparée. Les deux sont seulement des marionnettes qui répondent simplement à des impulsions extérieures, aux évènements sur lesquels elles n’ont aucun contrôle. Une inconditionnelle acceptation de ce fait signifie vivre Libre.

Alors, il n’y a aucune restriction dans l’expression de la volonté et de son exercice (faire des choix) – Dans cette façon de vivre, il n’y a ni passé, ni futur, ni attraction, ni rejet, ni sommeil, ni éveil, parce que tout ceci sont des conditions conceptuelles basées sur le temps, tandis que l’Être éveillé vit toujours dans le moment présent.

Dans cette liberté de vivre, il n’y a aucune question de cupidité possible. Tout ce qui arrive est accepté inconditionnellement (toutes les réactions sont complètement spontanées et émises sans aucune implication personnelle)
Ce qui ne vient pas ne manque pas, ou n’est pas désiré – envié.
On est simplement témoin de ce qui arrive.
N’est-ce pas la plus grande liberté que celle dépourvue de tout esclavage de la volonté ?
L’esclavage de la volonté est ressenti à chaque fois que l’on ressent le besoin de ne pas faire un choix, chaque fois que l’on voudrait ne pas prendre de décision.
La liberté est le soulagement de ne pas avoir à se soucier des conséquences de nos décisions ou de nos choix.

Une telle liberté est le résultat d’acceptation totale et sans équivoque de ce qui se présente,
du « Que Ta volonté Soit Faite et non la mienne » la base de tous les enseignements de tous les Maîtres de toutes les écoles de libération.
L’acceptation n’est pas totale si le « moi » continue à faire des efforts personnels et délibérés pour « atteindre » un but, l’Éveil inclus.
L’acceptation est totale lorsque toutes les actions prises à travers l’esprit-corps, sont acceptées en tant que fonctionnement de la Totalité, l’Expression de « Ta Volonté Soit Faite ».

Le Sage dit que l’esprit, l’attitude d’un homme sage sont « vacants ». Ce que le Sage veut dire c’est qu’ils apparaissent comme vacants parce que normalement toute attitude ou esprit sont colorés de jugement vis-à-vis de ce qui est perçu comme bien ou mal, beau ou laid etc……

Celui qui comprend profondément, perçoit TOUT comme sa propre réflexion, comme l’objective expression de sa subjective liberté-de-vie.

Ramesh S.BALSEKAR – « A duet of one ». (Traduit par moi-même)

SÉPARATION

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Au début ils s’adorent.

Mais Lui est de plus en plus distant et se fait du mouron d’abord, puis l’anxiété est de plus en plus forte, jusqu’à limiter toute expression de soi et va lentement vers la dépression.
Il s’éloigne de plus en plus.

Alors Elle s’énerve. Mais Il l’accuse de ne pas aimer inconditionnellement donc, car Il est comme « cela » et au nom de l’amour inconditionnel, Elle devrait supporter.
Se plier à ses désirs. (Contrôle et dépendance.)
Puis la maladie arrive (alcoolisme, dépression, manie, obsessions, violence, cancer etc…)

Elle se sent coupable. Il la culpabilise.
Si elle accepte de jouer son jeu afin de ne pas le perdre, OU par sentiment de culpabilité, parce qu’il est malade (aussi colérique), ELLE PERMET LA VIOLATION DE SES LIMITES.
La relation affecte négativement son estime d’elle-même.
Le choix libérateur est de ROMPRE sans culpabilité.

La souffrance et la peur (de la vie de couple) du partenaire (Lui) ne sont pas sa responsabilité à Elle.
Sa souffrance à Lui, et sa CULPABILITÉ à Elle, les ont menés à une relation destructrice. La relation EST DÉJÀ chargée émotionnellement à cause d’une vie antérieure. (Café de Flore – Le Film)

Ils se sont rencontrés afin de permettre à Elle de lâcher-prise sans éprouver de culpabilité et à LUI de s’assumer émotionnellement.
Dans ce genre de relation, la seule solution est de ROMPRE.
L’éloignement d’Elle, de sa souffrance à LUI, (violence, distance et dépression, maladie, peur du couple) permettront à l’homme de se confronter à sa souffrance, et lui offre l’opportunité de faire face à ses émotions au LIEU D’Y ECHAPPER.

Lorsque l’attirance est familière et irrépressible au début, les problèmes de pouvoir, de contrôle et de dépendance ne tardent jamais.
Ils ne font que répéter une tragédie passée.

Il est nécessaire de lâcher prise l’un de l’autre, et de devenir une entité libre et Indépendante.
RESPONSABLE.

L’énergie de l’amour est calme et paisible. Insouciante et inspirante.
Ni pesante, ni tragique.
SINON, il est nécessaire de lâcher prise, plutôt que d’essayer de TRAVAILLER sur la relation.

L’autre peut activer une chose qui va générer le drame.
Mais il n’appartient qu’à soi-même de gérer SON problème propre, et non pas attendre que l’autre le fasse à sa place.
On est responsable que de SOI.

La seule solution est le lâcher prise TOTAL.
La solution ne réside pas dans le comportement de L’AUTRE PERSONNE.
Les enfants intérieurs de chacun sont tellement connectés, qu’ils croient chacun pouvoir secourir l’autre.
ILS RENFORCENT ainsi le sentiment de VICTIMISATION et D’IMPUISSANCE de l’autre, alors qu’il serait beaucoup plus utile de tirer un trait et de s’assumer.
Devenir entièrement autonome.

Un partenaire n’est pas là pour combler un vide dans nos vies (relations de guérison, où une pression existe déjà à la base de la relation)

Une bonne relation est basée sur la PAIX, la COMPRÉHENSION et le SOUTIEN.

« Je réinvente ma vie » de Jeffrey E. Young (Extrait.)