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Nettoyage Energétique Lunaire
Relationnel.
Se mettre à la place de quelqu’un, c’est automatiquement lui laisser un espace.
Cette période lunaire est une période de purification intense.
C’est le moment d’en profiter.
Le but de la purification en cours, c’est la paix de l’esprit.
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Je suis en paix, lorsque je laisse l’autre m’aimer comme il le souhaite, et que je suis en paix avec cela, que ce soit avec des échanges ou des non échanges.
Je suis en paix lorsque je ne fais plus rien pour obtenir quelque chose en retour.
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Je suis en paix lorsque je me fiche totalement de savoir où l’autre va, parce que je vais avec lui.
Je suis en paix lorsque je sais que je ne peux plus voir de rejet, parce que ceci est absolument impossible si j’ai laissé la place à l’autre, de le connaître, de l’entendre, de m’entendre à travers lui.
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Je suis en paix lorsque je ne suis plus blessé(e) par ses silences, même s’ils durent.
La place laissée à l’autre, entend son silence, et lui laisse de l’espace.
A travers son silence, je m’entends, et je m’écoute, comme je l’entends lui, et l’écoute lui.
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Je suis en paix lorsque je vois toutes mes rencontres comme des apprentissages qui me rappellent là où j’en suis.
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Je suis en paix lorsque je m’aime à travers l’autre.
Je suis en paix lorsque je m’éloigne de ceux qui me renvoient une image négative de moi-même, parce que je sais qu’en aimant vraiment, il ne doit pas exister cette image négative.
Dans la place laissée à l’autre, il ne peut pas y avoir de négatif.
Chaque fois que je ne suis pas d’accord avec quelqu’un, je suis en paix avec cela, et donc il ne peut y avoir ni rejet, ni non acceptation, SAUF si j’y décèle une image négative de moi-même.
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En conséquence, je suis en paix avec ceux qui m’entourent, parce que leur présence est inconditionnelle et parfois invisible, mais je sais que cela n’a rien à voir AVEC MOI, parce que tout ce que je fais, c’est leur faire de la place.
Et dans cette place, il ne peut y avoir de négatif.
Valérie Mautin
20/03/2019
Photo par Jornalagora.
Les DÉCISIONS
Lorsque tu prends une décision, tu la prends pour toi, et non pas pour l’autre.
Personne n’a à te demander de la justifier.
Et l’amour, c’est de laisser l’autre libre.
Valérie Mautin
16/03/2019
LES ATTENTES
10/03/2019
LE SCENARIO
« Les scénarios jaillissent en notre esprit des centaines de fois par jour – lorsque quelqu’un se lève sans mot dire et quitte la pièce ; si une personne ne vous sourit pas ou ne retourne pas votre appel, ou quand un étranger sourit effectivement ; avant d’ouvrir une lettre d’importance ou après avoir éprouvé une sensation bizarre dans la poitrine ; quand votre patron vous fait mander dans son bureau ou que votre associé s’adresse à vous sur un ton obscur. Les scénarios sont des théories non démontrées, non investiguées, qui accordent une interprétation à ces faits. Nous ne sommes même pas conscients que ce ne sont que des hypothèses.
Comme il est facile de se laisser emporter par une sensation accablante, il est donc utile de se souvenir que toute impression stressante fait office de signal d’alerte bienveillant nous avertissant que nous nous empêtrons dans un rêve.
La dépression, la douleur et la peur sont des dons du ciel qui nous rappellent de sonder notre attitude mentale à l’instant, que nous vivons une fiction qui n’est pas vraie pour nous.
Le fait de vivre un mensonge est systématiquement stressant.
Mais si nous n’écoutons pas le signal d’alarme, nous tentons de modifier et de manipuler la sensation en cherchant la solution à l’extérieur de nous.
C’est pourquoi j’affirme qu’un signal vous informe que vous avez une pensée qui vaut la peine d’être investiguée.
Et le fait d’examiner une pensée fallacieuse grâce au Travail vous conduira toujours vers celui ou celle que vous êtes vraiment.
Il est douloureux de croire que vous êtes quelqu’un d’autre que celui ou celle que vous êtes, de vivre une fiction autre que le bonheur. »
Byron Katie
Elle prend l’exemple de quelqu’un qu’elle considère comme une femme aller aux toilettes, et en mettre partout sur la lunette.
Elle s’imagine…et râle, comment quelqu’un qui chante si bien en se lavant les mains peut-il en mettre partout à ce point ?
D’abord, il s’avère que c’est un homme, et il s’avère aussi que c’est la chasse d’eau qui ne fonctionne pas.
J’adore.
Hier, j’ai vu un film qui s’appelle « The Guilty » soit Le Coupable.
Danemark.
Je n’en dirai pas plus.
Génial ce film.
Donc, quand je vois cet autre qui m’agace, qui me met hors de moi, qui me pousse, me bouscule, est violent peut-être, je regarde la brûlure, et je n’ai plus mal, parce que, simplement, j’ai retiré ma main du feu, et elle a agi toute seule, car je connais la brûlure.
Je sais que ce n’est pas lui qui agit « mal », mais en investiguant ma pensée, je vois le « Pourquoi cet autre devrait-il être différent ? c’est bien son problème, et plus le mien. »
Retirer ma main au bon moment reste mon choix conscient.
Au bon moment.
Valérie Mautin.
03/03/2019
Les Masques…
Toujours tu te demandais ce que je faisais,
Pour finalement te rendre compte que tu t’en foutais,
C’est ça la vie, une danse des valses,
Une danse des masques,
Qui ne disent rien, qui cachent, qui fâchent,
Qui, lâches, s’étonnent et qui partent.
Tu ne dis pas, alors que tu voudrais dire,
Tu câlines, alors que tu voudrais maudire,
Tu rejettes, quand tu voudrais embrasser,
Tu assassines, quand tu voudrais enlacer,
Puis, las, tu te retrouves à l’envers,
Entrain de pleurer tes pertes et tes marques,
Parce que tu n’as pas le courage, l’autre s’efface,
T’as rien compris, t’es planté, amer,
T’as plus que ton cœur pour achever cette farce.
Descends dans ton cœur, pour une fois, pour un mois,
Pour toujours, va y trouver l’amour, sans détours,
Tu tergiverses, mais tu perds, comme t’es aux abois,
Tu veux, mais tu freines,
Tu meurs, mais tu t’en fous,
T’as pas compris, tu t’enlises,
Tu rengaines,
Ton amour fou,
Puis épuisé, tu gis sur la digue,
Seul, au fond du trou.
Ainsi va l’ego, qui n’a pas trouvé le Cœur,
Ainsi vont les masques, dont se parent les menteurs,
Je te dis, je fais, mais je m’enfuis,
Tu fais le contraire de tout ce que tu dis.
Valérie Mautin
16/02/2018
L’ÉTAT AMOUREUX…

Au fond, il est une complicité, une connivence, une fréquence, une entente, une intelligence, une maturité. Un silence.
Il n’y a plus besoin de demander, c’est là, comme une évidence.
Tu tombes dans le gouffre qui s’ouvre sous tes pieds, tu te noies dans l’océan dramatique, qui devient tout noir, il est passé du bleu profond au noir massacre, tu cesses d’exister, la vie n’est plus que chimère, ne vaut plus la peine, tu t’enfermes, et les larmes te noient.
Si jamais il ne suit pas…
Je connais ça…
Les larmes te noient, et rien n’y fera.
Pendant ce temps, quelqu’un autour de toi souffre, et tu ne le vois même pas.
Son lot d’attentes, de demandes, d’exigences, d’obéissance, non merci.
Et la société qui ne cesse d’empiéter sur TOI pour ses besoins particuliers !
Tes besoins ne sont pas plus que les miens, et le bonheur n’en a que faire.
Femmes Courageuses…

Il y a des femmes puissantes,
Des femmes qui guérissent, sans en avoir l’air,
Des femmes autonomes, vivantes, le cœur ouvert,
Prêtes à donner, à comprendre qu’en face d’elles, elles n’ont que ce qu’elles pensent d’elles-mêmes,
Des femmes insoumises, qui courent encore avec les loups.
Des femmes sauvages, solitaires,
Des femmes qui s’expriment, libres,
Des femmes fées,
Des femmes désirées, actives,
Des femmes qui dansent la nuit avec les aigles,
Des femmes de la Nature, Toujours,
Des femmes accomplies, qui même quand elles souffrent, ne plient jamais, ne se plaignent jamais, ne demandent jamais,
Des femmes qui ont un sourire lumineux, éternel,
Et à la Source desquelles, chacun peut venir se rassasier en paix.
Des femmes indomptables, des femmes indépendantes,
Disponibles, souveraines.
Des femmes qui font ressortir votre optimisme, qui chassent vos peines,
Taisent vos tourments,
Des femmes qui offrent leurs épaules, pour que vous puissiez vous y reposer un instant.
Des femmes farouches et courageuses,
Inébranlables, infatigables,
Qui se rassemblent, dans l’air du temps, au rythme des battements de leur cœur aimant.
Valérie Mautin
20/01/2019
Photo par Greta Tu
L’Homme Sensible…

Il y a des hommes puissants,
Des hommes qui sont à l’écoute, qui entendent, qui réfléchissent,
Des hommes dont la présence vous rassure, vous surprend, vous enchante,
Des hommes calmes et des hommes doux.
Des hommes qui ne vous regardent pas pour combler leur vide intérieur,
Des hommes qui cherchent vraiment à comprendre, à aider, à être un support.
Des hommes qui acceptent d’être parfois vulnérables,
Des hommes qui sourient, qui bénissent, qui ont parfaitement accepté leur féminité,
Qui l’ont admirablement intégrée.
Exprimée, sublimée, elle devient un fantastique moteur d’acuité intellectuelle, d’intuition, qui en font des hommes hypersensibles, qui s’émeuvent et qui pleurent.
Leurs larmes guérissent tout.
Pardonnent tout.
Ce sont les larmes d’un soleil.
Un soleil qui brille parmi les étoiles, sans les brûler, en les respectant, les admirant, sans chercher à les éblouir, au contraire en les exaltant, les émerveillant, les contemplant, comme des pierres précieuses et rares.
Comme des rochers, sur lesquels ils peuvent eux aussi, se reposer.
Des hommes magiques, qui transforment et transcendent.
Des hommes forts, des hommes solitaires, comme les loups.
Des loups qui protègent.
Qui défendent.
Des hommes qui savent manier le dithyrambe, sans le rendre excessif, malvenu, ou encensé.
Des hommes qui honorent tout en célébrant.
Joyeux, optimistes. Qui aiment la nature, sans calculer.
Spontanés et vifs.
Et si j’ai déjà vécu, j’espère avoir été un de ces hommes là.
Valérie Mautin
21/01/2019
Photo par Khomenko.
Relations Particulières
Relations Particulières versus Relations Saintes.
Photo par LICHT REIZE.