JONCTION

Ce que tu joins à toi devient réel.

Tu regardes à l’extérieur de ta maison et, que tu voies des rues de banlieue baignées de lumière artificielle, des rues qui empestent les ordures et le crime, ou des champs de maïs en fleur, tu dis que c’est le monde réel.
C’est le monde où tu vas gagner ta vie, recevoir ton éducation, trouver ton partenaire.

Mais la maison que tu habites, très semblable à ton monde intérieur, est là où tu vis la vie qui a le plus de sens.
C’est là où tes valeurs sont formées, tes décisions sont prises.
Tu peux dire que le monde réel est quelque part à l’extérieur de toi, comme tu imagines que le monde réel est à l’extérieur de ta maison, mais ce n’est pas parce que tu le dis, que c’est vrai.

Lorsque des pensées insensées encombrent ton esprit, quand surgit la rancœur, quand monte l’inquiétude, répète la seule pensée qui vient ouvrir ton cœur et dégager ton esprit : « Je consacre toute pensée à l’union. »
Aussi souvent que nécessaire, des centaines de fois par jour si nécessaire.

Car tu ne comprends pas encore TA force de résistance à l’union, qui transformerait l’enfer en ciel, l’insanité en paix.

Tu ne comprends pas encore combien tu as la capacité de choisir ce que tu rends réel dans TA CRÉATION du monde.

LA SEULE signification du libre-arbitre est celle-ci : ce que tu choisis de joindre à toi, et ce que tu CHOISIS de laisser à l’extérieur de toi-même.

Un Cours d’Amour.

Photo par moi-même.
En Unification avec mon bateau intérieur, reposé, après une journée… de pensées bien choisies.

LA DÉSINTOXICATION

Message de mes guides 3.

Tout ce que tu fais manifeste ta vérité.
Dans l’écoute, tu fais taire toute autre voix.
Dans l’écoute, tu regardes tes relations, et tu vois combien elles sont le reflet de ta peur de la solitude.
Ainsi, elles sont dépendantes.
Toute activité est une peur sous-jacente de la solitude.
Et l’amour ne s’exprime que dans le développement de notre richesse intérieure, et non pas dans une quelconque dépendance.
Oublie ton expérience, tes connaissances, et enregistre que la vie soit un mystère à vivre, en perpétuel changement.

La liberté ne s’acquiert qu’après un long, long cheminement intérieur.
Nous sommes arrivés à la fin d’une étape, d’un cycle.
Tenons-nous prêts.
Il est temps de ne plus se sentir enfermé, coincé. Sous l’emprise de quoi que ce soit, ni de qui que ce soit.
Le passé est terminé.

C’est le temps de la Force.
Celle qu’on retrouve en soi, la maîtrise de nos émotions, de nos choix.
Temps d’intense guérison.
Les émotions favorisent les inflammations, les ulcères, alors nous devons y prêter une attention très particulière en ce moment.
Période de feu, donc de vigilance.
Transformation totale.

Le temps joue en notre faveur.
La patience.
Le non empressement, jamais de pression.
Douceur.
Solitude.
Réflexion.
Silence et méditation.
Temps bénéfique pour défricher son jardin, rempoter les fleurs, car tout ce qui est à l’extérieur, est à l’intérieur d’abord.
Et ensuite, demande tout le temps nécessaire à l’éclosion des nouvelles semences.
Sagesse.
Travail sur les Peurs.
Temps de la Tortue.
Pour devenir un Dauphin.

Valérie Mautin
Le 23/03/2017

Photo par Allen.

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Profitez-en !

LA GUERRE DU VOULOIR.

Dauphin

MESSAGE de mes Guides (2)

Tu as oublié d’être une fleur. Qui grandit dans le noir, qu’importe le temps, le vent ou le soleil, ou la pluie.
Elle pourrait rester aussi sous terre…
Mais non, elle en sort, avec courage.
Son rêve, c’est juste de pousser, sans savoir pourquoi ni où.

Alors une autre dimension s’ouvre.
Tu as le choix entre un tas de portes.
Et elles s’ouvriront devant toi, là où tu en es.

La fleur, c’est le cœur.
Et le cœur ne veut rien.
N’exige rien, n’attend rien.
Il pousse, c’est tout.
Il est.

Etre centré sur la réussite, la performance à tout prix, est le signe radical de l’échec possible.
La compétition.
Dépendance absolue.
Loin de toute autonomie.
Il est question de détacher de toute volonté de réussite spéciale.

Le combat, les défis, sont autant d’obstacles pour l’âme, qui n’est que lumière.
Qu’y-a-t-il à forcer ?
A prévoir ?
A vouloir ?

Les dauphins s’abandonnent à la lumière, et à l’eau qui les comble.
Pour toi, c’est pareil, affinités d’âmes qui vont se rencontrer, de plus en plus.
De mieux en mieux, en s’aimant et en se respectant.
Qu’y-a-t-il à vouloir de plus ?

Alors, il n’y a plus ni échec, ni rejet, ni abandon, ni amour non réciproque.
Il y a juste des « volontés » qui t’empêchent d’avancer.
Ouvre ton canal de Dauphin, et danse avec la Lumière que tu es.
Assurément.
En paix et en joie.
Ressens cette intense vibration, et arrête de te demander ce que tu vas faire de ta vie. Elle se déroule toute seule, suivant ta vibration, c’est donc uniquement elle qui est à surveiller.

Sinon, à qui veux-tu PROUVER quelque chose ?
Quel est ce compte à rendre ?
A qui, à quoi, pourquoi ?
Valérie Mautin
18/03/2017

Photo par le site « viajesandtrips.com »

MESSAGE DE MES GUIDES – 1

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A la question : « Qu’avez-vous à me dire sur ces amours qui nous font mal » voici la réponse.
J’ai tellement d’amis dans ce cas.
Tout d’abord, toute situation in-sécurisante est là pour vous faire grandir.
La vérité n’a rien à voir avec l’autorité, le passé ou la tradition.
Tu te perdras souvent en cherchant ta vérité propre, et il t’est demandé de la trouver, malgré tous les dangers que cela suppose.

Il est nécessaire aujourd’hui de s’engager ENVERS soi-même.
Et non plus courir après la réalisation de ses désirs.
Le contentement entier de tes désirs est impossible.
Entends bien. Impossible.
Observe, et distance-toi de tes pensées.
Tourne-toi vers l’intérieur et non plus vers l’extérieur.

C’est le moment de la responsabilité.
De nos limites, exigences, valeurs.
Respect de SOI.
Intégrité et fidélité envers notre conscience, dans la mesure où elle fait LE BIEN.
La maitrise de tes évènements, sachant que chaque relation est là pour te faire évoluer, comprendre, un pas vers toi.
Tu es ton chef d’orchestre.
Et à travers CETTE relation présente que tu vis, bien ou mal, s’exprime ton plus profond MOI.

Tes émotions sont libératrices.
Respect de soi, laisser parler l’amour qui n’exige rien et n’attend rien.
SANS répétition des mêmes scénarios.
SANS manipulation.
Regarder l’énergie déployée pour l’autre, et celle que tu TE donnes.
Temps de BILAN.

Mariage d’ombre et de lumière, qui donne une nouvelle naissance.
On renaît du passé.
Sans le répéter.
Tu exprimes, tu dessines, tu écris. Tu te libères, tu pars s’il le faut.
Et tu stoppes de tout maintenir dans ta gorge, ce qui te rend MALADE.
Tu sors des carcans familiaux, et leurs principes.
Mariages arrangés, structures rigides.
Cette reproduction te sécurise.
C’est terminé.
Le Mariage n’est pas une performance.
Il est responsable, tout en étant libre.

Remises en question et changements en profondeur.

Alors, voici venu le temps de savoir dire NON.
De savoir QUAND dire OUI.
De poser ses limites.
Fermement, mais avec amour.
Toute passion est bénédiction, dans la mesure où elle n’est PAS dépendance.
Dépendance sexuelle, matérielle, sensorielle, vitale.

En conclusion, c’est le moment de laisser s’exprimer ton énergie lumineuse, tes émotions, ton soleil interne, et son pouvoir de transformation, ton Amour, qui en coulant librement à travers tes veines ne peut qu’attirer vers toi le miroir de ton cœur.
Valérie Mautin
Le 18/03/2017

Photo par Khomenko.

LES LIMITES

article

Le sujet sur les limites est chaud.
Voyons plutôt.

Sentez-vous que les gens ont l’avantage sur vous ou utilisent vos émotions à leur profit ?

Vous sentez-vous toujours le besoin de sauver les gens, ou de réparer leurs problèmes pour eux ?

Vous trouvez-vous souvent dans des débats sans fin, et des disputes inutiles ?

Vous trouvez-vous bien plus investi ou attiré par une personne que vous ne devriez, en regard du peu de temps que vous la connaissez ?

Dans vos relations, les choses sont-elles étonnantes ou horribles, et jamais dans le juste milieu ?
Et alors vous rompez, vous retrouvez, tout le temps dans un laps de temps de quelques mois, régulièrement ?

Dites-vous toujours à vos amis combien vous détestez le drame, et vous vous retrouvez toujours en plein drame ?

Vous retrouvez-vous toujours à vous défendre de problèmes que vous ne croyez jamais être de votre faute ?
Si vous répondez oui à peu de questions ci-dessous, vous avez du mal à mettre des limites.
Si la majorité de vos réponses est oui, alors, non seulement vous avez énormément de mal à poser vos limites, mais en plus vous avez des problèmes personnels ailleurs dans votre vie.
QU’EST-CE QUE LES LIMITES PERSONNELLES ?

Prendre la responsabilité de vos propres actions et émotions, pendant que vous ne prenez PAS la responsabilité des actions et des émotions DES AUTRES.

Les personnes qui ont des limites personnelles très appauvries oscillent entre deux niveaux : ou ils prennent trop de responsabilité pour les émotions et actions d’autrui, ou bien ils attendent QUE LES AUTRES prennent bien trop la responsabilité de LEURS propres émotions et actions.

Bien évidemment, ce genre de relation ne dure pas longtemps.

Voici des exemples de manques de limites :
Tu ne peux pas aller voir des amis, ça me rend jaloux/se – tu dois rester à la maison avec moi.

Je ne peux pas sortir avec vous ce soir… Ma copine (copain) serait vraiment furax.

Mes collègues sont idiots, je suis toujours en retard, car je dois leur mâcher le travail avant de partir.

Je voulais prendre ce job dans le sud, mais ma mère n’aurait jamais voulu que j’aille si loin.

Ah non, je ne peux pas sortir avec toi, j’ai une amie qui devient vraiment jalouse si j’ai un copain et pas elle.

Exemples typiques de ceux qui prennent sur eux les émotions d’autrui.
Ce qui va changer leur comportement.
Du coup, vous ne forgez absolument pas votre propre identité.

Par exemple, vous faites du judo, et vous rendez coupable votre prof de votre manque de progrès.
De plus vous vous rendez coupable d’être absent tandis que votre mari ou femme vous attend à la maison.
Le judo devient ce que vous faites mais non ce que vous êtes.
Vous cherchez l’approbation sociale…car vous blâmez le prof…ce n’est plus ce que vous vouliez vraiment faire…cela devient inauthentique….c’est seulement un désir de paraitre…
Et votre comportement devient carrément répulsif parce qu’il devient dépendant de ce qu’en pensent les autres.
Lorsqu’il s’agit de la famille, c’est encore pire.
On peut jeter n’importe qui, un divorce est à un coup de fil près, ou douze, mais on ne peut pas jeter les parents.

Si vous avez des problèmes de limites dans votre famille, il est très vraisemblable que cela se répercute dans vos relations intimes.
Et ces relations vont vous aider à réparer les relations parentales.

Sachez que les montagnes russes, on se retrouve, on se perd, on se retrouve dans le l’euphorie, on se reperd dans le drame, sont le signal de relations co-dépendantes, dont aucun des protagonistes ne sont capables de limites saines et solides.

Ce sont des relations très basées sur le besoin.
D’affection.
D’amour.
Afin de les recevoir, ils sacrifient leur identité, et repoussent sans cesse leurs limites.

A préciser : Plus ils repoussent leur identité et leurs limites, moins ils sont attirants pour les autres.

Les gens qui blâment les autres pour leurs émotions et leurs actions, croyant qu’ils puissent rejeter la responsabilité sur autrui, pensant que cela va leur octroyer l’amour des autres, se posant en victime, pensent qu’ils en obtiendront un sauveur.

Et les gens qui prennent ces blâmes, leur accordant crédit, veulent sauver.
Ils pensent qu’ils peuvent réparer, et si c’est leur partenaire, on y va, ils auront enfin l’appréciation qu’il ont toujours attendue.

Ce genre de personnes sont toujours attirées.
Ils vont très bien ensemble.
Relations parentales fixées de façon primordiale sur le besoin QUI DOIT ÊTRE COMBLÉ PAR L’AUTRE.
Pauvre limites et besoins.
Evidemment, personne n’y arrive.
Le besoin s’agrandit au contraire.
Et les limites diminuent de plus en plus, comme l’amour de soi, qui descend en flèche.
La victime crée de plus en plus de problèmes à résoudre et les sauveurs résolvent résolvent, mais l’amour et l’appréciation ne sont JAMAIS transmis, JAMAIS compris, JAMAIS APPRIS.

Le sauveur ne sauve pas parce qu’il se soucie du problème.
Il sauve en pensant que ça va lui attirer l’amour de l’autre.
Et il n’y a rien de plus rébarbatif pour les autres comme pour soi, et acte d’auto-sabotage.

Aimer la victime c’est vraiment dire : Ecoute, tu blâmes les autres pour tes problèmes, mais arrête. Répare. Tu es capable.
Cela EST AIMER la victime.

Pour la victime, aimer le sauveur serait dire : Ecoute, ceci est MON problème, tu n’as pas à le réparer pour moi.
Ceci serait AIMER le sauveur.

Mais ce n’est pas ce qui se passe habituellement.
Les victimes et les sauveurs montent sur leurs grands chevaux ensemble.
C’est comme une drogue…et lorsqu’on les présente à des gens qui ne jouent ni les victimes, ni les sauveurs, ils prennent la fuite, par « manque d’atomes crochus »
Ils passent leur chemin, parce que la sécurité de quelqu’un qui a des limites solides ne comble pas du tout le manque de limites émotionnelles d’une personne qui a tout le temps besoin des autres.
Les victimes sont des attachés-anxieux.
les sauveurs refusent les attachants.
En tout cas, les deux refusent l’attachement qui sécurise.

Pour les victimes, la plus dure chose au monde est de se RENDRE responsable de leurs sentiments et de leur vie, et non pas les autres.
Ils ont passé toute leur existence à croire qu’ils DOIVENT blâmer les autres pour ressentir l’intimité et l’amour, alors lâcher cela, est terrifiant pour eux.

Pour le sauveur, la plus dure chose au monde c’est d’arrêter de vouloir réparer les problèmes des autres, et les forcer à être heureux et satisfaits de leur vie.
Pour eux, c’est la seule façon de sentir exister, aimés, se sentir utiles, et lâcher cela est terrifiant pour eux.
Le travail est d’édifier l’amour de soi.
Arrêter un comportement de DEMANDE.
A PROPOS DU SACRIFICE

Le point à saisir est de comprendre que lorsque vous avez quelqu’un auquel vous tenez, vous lui faites plaisir parce que VOUS LE DÉSIREZ VRAIMENT, et non parce que vous VOUS SENTEZ OBLIGÉS DE LE FAIRE PAR PEUR DES CONSÉQUENCES SI VOUS NE LE FAITES PAS.

On en revient toujours au moment crucial de l’amour inconditionnel : Vous faites les choses SANS RIEN ATTENDRE EN RETOUR.

Si vous appelez votre amoureux(se) tous les jours en le/la haïssant parce qu’elle/il prend votre indépendance, et que vous êtes terrifiés de la réaction de l’autre si vous ne le faites pas, VOUS AVEZ UN PROBLÈME DE LIMITES.
En revanche si vous avez vraiment l’amour dans le coeur, alors, faites-le.

Comment savoir si problème de limites il y a ? Simple :
Demandez-vous : SI je ne le fais pas, est-ce que la relation change ?
Si vous pensez que oui, alors c’est MAUVAIS SIGNE.
Si les conséquences ne sont pas plaisantes, mais que vous pensez pouvoir stopper votre action sans vous sentir vraiment différent vous-même, alors là est le bon signe.

C’est simple.
Si tu fais une chose, sans avoir peur des conséquences, tu n’attends rien, donc, et il n’y a pas de répercussions.
Un personne sûre de ses limites n’est pas effrayée par les caractères, les conflits, ou les heurts.
Une personne qui n’a que très peu de limites est terrifiée par tout cela.
Une personne avec des limites solides comprend qu’il est très difficile que deux personnes s’accordent à 100% et correspondent à tous les désirs et besoins de l’autre.
Cette personne comprend qu’elle peut heurter parfois, mais alors elle sait comment l’autre peut se sentir.

Une personne avec des limites solides, sait qu’une bonne relation ce n’est pas vouloir contrôler les ÉMOTIONS de l’autre, mais bien mieux de SE réconforter l’un l’autre, S’épauler, dans leur chemin, et leur croissance de réalisation personnelle.

Article traduit de l’anglais par moi-même.
Dont voici le lien original : https://markmanson.net/boundaries
Photo par Marcos Rodriguez.

En HAUT

khoneige

Tu m’as mis en haut, tout en haut.
Mon vœu le plus cher est d’être celui (ou celle) que tu attends.
Dans ton cœur,
Fais-moi exister.
En premier.

Mais n’oublie pas que je ne suis pas un paquet emballé, bien ficelé, qui arrive par la poste et hop, c’est construit, offert, terminé.
N’oublie pas qu’une relation se travaille, se peaufine, s’arrange, se parle, s’entend, s’écoute, se brouille, se pardonne, s’interroge, et parfois, entre seul dans son jardin, pour s’assoir sur un banc, et réfléchir.

Je pars maintenant te rejoindre.
Qu’importe si tu es un peu en avance, l’instant suivant, tu seras en retard.
Alors je t’attendrai.

Toujours, crois.
En moi.
Crois que le crapaud se change toujours en prince, parce que les grenouilles, sont aussi des princesses en changement.
Enfin, des chenilles, en papillons.
Tous, nous sommes.

Sois patiente.
Sois patient.
Comme l’eau est pure.
Attends moi.

Je suis là, tout près.
Si tu ne me vois pas, c’est que ton coeur n’est pas encore vidé.
Complètement.
Il n’a pas la place.
Il refuse.
ME refuse.

Car, l’étincelle Divine, c’est toi, c’est moi.
Nous sommes faits l’une pour l’autre.
Nous sommes unifiées, déjà.
Depuis longtemps.

Crois-le.
De quoi as-tu peur ?
De vivre sans moi ?
Mais tu n’es jamais sans moi.
Je suis toujours là, pour toi, et toi, tu ne me vois pas.
C’est pourquoi tu te sens seule.
C’est pourquoi tu te sens seul.
C’est ta croyance qui m’efface, ou m’éloigne.
Ton rejet de toi-même.
Qui devient rejet de Moi.

Aime-toi, et alors, j’apparais.
Immédiatement.
Je t’enlace, de toute ma puissance divine.

Ton Amour.

Valérie Mautin
03/02/2017

Photo par KHOMENKO

Mon Mec à Moi

khocouple

Mon Mec à moi, il me parle … de Lui.

Il est gentil et attentionné,
Beau à l’intérieur comme à l’extérieur.
Il est à l’écoute de ce que je dis, autant sur Facebook que sur le papier ou sur le téléphone, ou même AU téléphone.
Il est très communicatif.

Il sait que la lumière de mon âme, c’est aussi la sienne.
Il sait que si je suis en souffrance, c’est la sienne propre, qui s’exprime.
Comme je sais que la sienne c’est aussi la mienne.

Il sait me regarder quand je dors.
Il sait m’écouter quand je dors.
Il sait me prendre dans ses bras pour me réconforter.

Il sait que si je suis en colère, c’est la sienne qui s’exprime.
Il sait se taire pour m’écouter, comme je me tais pour l’écouter.
Entendre son silence, comme il entend le mien.

Il sait.
Il Est.
Sa remise en question est aussi immédiate que la prise en charge de ses responsabilités dans TOUT ce qu’il voit.
En moi, autour de moi, en lui, autour de lui.

Dans son regard, Brille le Regard Éternel de Dieu.
Dans le mien, il sait que Brille le Regard Éternel de Dieu.

Il pardonne, comme je pardonne.
Il change, comme je change.
Il chante, parce qu’il a un chant à chanter, comme moi je chante, parce que j’ai un chant à chanter.

Il tient ses mots.
Il fait ce qu’il dit.
En tout cas, du mieux qu’il peut.
Si ensemble, nous ne le faisons pas, nous savons nous Regarder.

C’est un homme Bon.
C’est un homme Tendre.
Qui comprend.
C’est un homme Loup, pour sa Louve.

C’est un homme de Loi.
Des Lois de L’Univers.
C’est un homme très doux.
C’est un homme qui EXISTE.
Il connait la différence entre constater, émettre une opinion, et juger.
Il est Lucide, Amour, laissant la place pour l’Amour en Lui et l’Amour en l’Autre.

Il est là.
Présent.
En Moi.
En Lui.

Et je l’aime, infiniment.

Valérie Mautin.
le 02/02/2017

PHOTO par KHOMENKO.

MALTRAITANCE

maltraitance

Photo par KHOMENKO

Le problème avec les êtres d’amour, c’est qu’ils acceptent.
Tu peux les traiter vraiment mal, ils seront toujours les premiers à pardonner.

On peut les déstabiliser, les frapper même, ils sont encore là…cherchant désespérément l’amour derrière la maltraitance.
L’abus et cette dernière, marquent l’intérêt de l’autre. Son amour. Qui rassurent.
A l’extrême rigueur, plus l’autre est maltraitant, plus tu te sens exister, plus tu te sens aimé(e) – dans la relation d’amour, quelle qu’elle soit.

Erreur, qui peut être fatale.

Pardonner oui, tout accepter non.
Laisser la porte ouverte, oui, parfois.
Parler de l’autre avec bienveillance, parler de soi avec bienveillance.
Un travail de discipline.
Oui.

La culpabilité d’un côté ou de l’autre, c’est non.
Ceux qui diront que comme ça, il n’y a pas de remise en question possible se trompent.
Il y a juste des personnes qui en sont à la leçon 300, tandis que d’autres en sont à la leçon 29.
A cet instant…

Et ainsi va la vie…
Moi, le jour où l’on sonne à ma porte, j’écouterai…j’écoute…
Et j’espère, j’entendrai en profondeur, autant l’autre, que moi-même, avec mes propres démons.
Valérie Mautin
25/01/2017